Dossier de réforme concernant la GPA :

Assurer aux enfants tous leurs droits

& dissuader du recours à la GPA

vendredi 19 décembre 2014

La défense du droit à l’IVG exige l’interdiction des contrats de portage de fœtus

La défense du droit à l’IVG exige l’interdiction des contrats de portage de fœtus


Une grossesse est un des plus évènements importants dans la vie d’une femme, dans sa mémoire et pour sa santé. Pour cette raison, il faut défendre la liberté de décider de l’arrêter sans être réprimée pénalement et la liberté de ne pas être soumise à un contrat de mère porteuse.

Les partisans de la GPA présentent leur revendication comme une condition de la défense du droit à l’IVG : la liberté de disposer de son corps serait indivisible.
S’ils étaient sincères et honnêtes, ils accepteraient alors que les grossesses décidées en vue de l’éducation de l’enfant par d’autres parents, soient réellement juridiquement libres, c’est-à-dire ne fassent l’objet d’aucun engagement contractuel spécifique mais uniquement d’un accord libre et purement moral avec la mère de l’enfant.
Eventualité qu’ils refusent bien entendu, car en réalité ce qu’ils revendiquent est leur liberté de disposer de corps de femme et d’avorter éventuellement les fœtus en trop.


En vérité, opposants à l’avortement et partisans de la GPA partent de la même conception de la femme et de l’enfantement, dans laquelle la grossesse est presque oubliée, ses conséquences pour la femme  niées, passées sous silence. Louer ou pas son travail, « son ventre comme ses bras », avoir ou pas un enfant : leur présentation du choix occulte la réalité physique vécue par la femme enceinte. (Avec une nuance : le sacrifice physique que peut représenter le choix de garder son enfant, n’est au moins pas nié par les opposants chrétiens à l’IVG, mais reconnu comme un acte méritoire.)

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